Assurance emprunteur, la presse en parle !

France: les taux des crédits immobiliers poursuivent leur hausse

Les taux d'intérêt des crédits immobiliers se sont établis en moyenne à 3,74% en avril contre 3,67% en mars, poursuivant leur remontée après un plus bas depuis 1945 atteint en novembre 2010, selon une étude de l'Observatoire Crédit Logement/CSA publiée lundi.
Les taux d'intérêt des crédits immobiliers se sont établis en moyenne à 3,74% en avril contre 3,67% en mars, poursuivant leur remontée après un plus bas depuis 1945 atteint en novembre 2010, selon une étude de l'Observatoire Crédit Logement/CSA publiée lundi.
Les taux des prêts remontent à un rythme moyen de 10 points de base par mois depuis novembre 2010 (3,22%), souligne Crédit Logement.
Les taux des prêts ont été de 3,74% en moyenne en avril contre 3,67% en mars, 3,53% en février et 3,47% en janvier.
"La demande ne semble pas encore avoir souffert de cette remontée. Après un début d'année assez calme, le marché a retrouvé de la vigueur dès février et l'activité est restée soutenue depuis", affirme Crédit Logement, l'organe central de garantie des prêts pour le logement.
La demande de crédit immobilier de la part des ménages a connu, au premier trimestre, sa première baisse depuis deux ans, avait estimé au contraire, le 27 avril, l'enquête trimestrielle de la Banque de France qui estimait que celle-ci "devrait se poursuivre au deuxième trimestre".
Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, s'était inquiété le 29 mars de la faiblesse des marges des banques dans le crédit immobilier, estimant que les établissements bancaires n'étaient "pas très raisonnables" dans leur tarification, favorisant trop les emprunteurs.
La durée moyenne des prêts consentis s'est établie à 208 mois après avoir brutalement grimpé à 217 mois durant le mois de mars, selon Crédit Logement.
Le coût relatif moyen des opérations réalisées continue de reculer, en avril, à 3,87 années de revenus, niveau qui était le sien fin 2006-début 2007, selon les chiffres de Crédit Logement.

Spécial Immobilier, Assurance : l'offre du banquier n'est jamais attractive pour les jeunes

Depuis septembre 2010, la loi Lagarde autorise les emprunteurs à souscrire leur assurance décès invalidité auprès des compagnies spécialisées. Une alternative très économique, en particulier pour les moins de 35 ans.

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Assurance emprunteur : les banques résistent à l'ouverture du marché

 

Crédit immobilier et assurance sont désormais déliés. Mais la lecture des garanties offertes n'est pas évidente. Les principales difficultés.

Un an après le vote de la loi Lagarde, la majorité des emprunteurs continue de s'assurer auprès des banques. Ces dernières ont réagi pour conserver leur quasi-monopole.

Le résultat est éloquent : selon une étude d'Ipsos pour la Macif, 60 % des emprunteurs ignorent qu'ils peuvent assurer leur crédit dans un établissement autre que celui où ils ont contracté leur prêt. Cette possibilité avait été introduite par la loi Lagarde de juill et 2010, qui interdit aux banques de refuser une assurance contractée à l'extérieur (dite de délégation) si les garanties présentées sont « équivalentes ». Pour autant, les emprunteurs continuent de privilégier les contrats groupe proposés par les banques qui appliquent les mêmes conditions d'assurance à tous les clients. Selon les chiffres 2010 de la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA), les banques trustent le marché avec 89 % des cotisations, contre 11 % pour les assurances déléguées.

Jusqu'à présent, « il n'y a pas eu de changement significatif car la loi Lagarde n'est pas opérationnelle. Elle pose le droit de choisir mais ne prévoit pas que l'emprunteur puisse se défendre dans la négociation avec la banque », indique Isabelle Tourniaire, du cabinet BAO. Selon l'UFC-Que Choisir, les chargés de clientèle des banques feraient aussi pression sur les clients préférant les contrats individuels, p rétextant ne pouvoir leur garantir le même taux du crédit ou refusant son octroi. « Les banques jouent sur le terme "équivalent" de la loi Lagarde et cherchent la garantie qui ne se retrouve pas dans le contrat individuel pour le refuser en arguant qu'il n'est pas équivalent au contrat groupe », précise Maxime Chipoy, chargé de mission banque-assurance de l'association.

 

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Les exclusions de garanties conditionnent la solidité des contrats

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Délégation d'assurance : les meilleurs contrats emprunteurs

L’agence de conseil en assurance Banque Assurance Optimisation (BAO) vient de publier un observatoire du marché de l’assurance emprunteur, qui permet de comparer les conditions offertes par 36 contrats différents.

Le 1er septembre dernier, la loi Lagarde de réforme du crédit conso a ouvert une brèche dans le quasi-monopole des banques (90% du marché) sur l’assurance emprunteur qui, comme son nom l’indique, couvre les emprunteurs immobiliers en cas de décès, d’invalidité ou d’arrêt de travail. Depuis cette date en effet, ces futurs propriétaires ont la possibilité de faire jouer la concurrence entre le contrat de groupe de leur banque et les contrats dits « alternatifs », proposés par des assureurs ou des courtiers. A une condition toutefois, selon la loi : que le contrat alternatif affiche des garanties au moins équivalentes au contrat de groupe du prêteur.

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Immobilier : les pièges de l'assurance emprunteur

 

Crédit immobilier et assurance sont désormais déliés. Mais la lecture des garanties offertes n'est pas évidente. Les principales difficultés.

Depuis l'entrée en vigueur de la loi Lagarde -en septembre 2010 -le crédit immobilier et l'assurance emprunteur, qui couvre en cas de décès, d'invalidité et d'arrêt de travail, sont théoriquement déliés. L'emprunteur peut donc faire jouer la concurrence entre les différents contrats d'assurance du marché, à condition cependant que les garanties soient identiques à celles du contrat collectif proposé par la banque. Difficile, pourtant de s'y retrouver entre les différentes garanties proposées...et leurs zones d'exclusion. Les contrats bancaires, ou ceux dits « alternatifs » (contrats issus de mutualistes, de sociétés de courtages ou de filiales de banques) sont loin de proposer les mêmes niveaux de protection. Pour y voir plus clair le cabinet Banque Assurance Optimisation (BAO), a comparé 35 couvertures souscrites au cours du premier trimestre 2011. Une étude qui prend tout d'abord la forme d'un comparateur de garanties d'assurance emprunteur. Reste à savoir s'il pourra l'alimenter régulièrement : les contrats étudiés ont été obtenus directement auprès d'emprunteurs. Et pas des assureurs. Quels sont les principaux enseignements ?

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Assurance Emprunteur : une étude démontre que les contrats les plus protecteurs figurent parmi les moins chers


La Loi Lagarde permet au souscripteur d’un prêt immobilier de choisir son assurance. Le cabinet de conseil BAO propose la première étude comparative des assurances emprunteurs : les garanties offertes par 35 contrats ont été notées sur 100.

Les contrats d’assurance emprunteur prennent en charge les mensualités de remboursement en cas de décès ou d’invalidité de l’emprunteur. L’étude de BAO a distingué les grandes catégories de contrats : ceux proposés par le banquier, les contrats courtiers (ex : April, Alpis) et des contrats de mutualistes. Ces deux derniers types de contrats sont donc possibles depuis la Loi Lagarde, qui ouvre l’opportunité de les choisir sous réserve qu’ils offrent des garanties au moins équivalentes à celles de la banque de l’assuré.

De fait, les contrats de courtiers et de mutualistes protègent donc mieux que ceux des banques.

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PUBLICATION CCSF ASSURANCE EMPRUNTEUR 11/2020 :
Bilan de l’assurance emprunteur :
10 ans après la Loi Lagarde
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OBSERVATOIRE 2018


 

OBSERVATOIRE 2017


Les contrats bancaires au regard des critères du CCSF