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Etude emprunteur 2010 : Comportement des jeunes emprunteurs immobiliers

L’étude réalisée a porté sur un échantillon de 290 emprunteurs de moins de 40 ans ayant réalisé leur emprunt immobilier entre 2008 et 2009 et déposé leurs coordonnées sur Internet. Leurs caractéristiques moyennes les rendent proches du profil moyen des jeunes emprunteurs français : ils empruntent en couple à 80%, consultent en moyenne 3 banques et réalisent un emprunt de l’ordre de 150 000€ sur 20 ans.La moitié d’entre eux bénéficie de prêts aidés par l’Etat (prêts à taux 0%, prêts d’accession à la propriété…)..
Téléchargez l'étude complète "Assurance de prêt : comportement des jeunes emprunteurs"Les questions posées ont trait à leur connaissance de la garantie emprunteur, des garanties qu’ils ont souscrites, si le choix a été possible, les motivations de ce choix, leur vécu de la commercialisation de ce produit par les différents intervenants qu’ils ont rencontrés (banque, courtier, assureur). La qualité de l’information de l’emprunteur reste au cœur du sujet : l’information et le conseil donnés ne sont pas toujours perçus comme suffisants, et ce pour tous les types d’intervenants. Le tiers des jeunes emprunteurs a souscrit son assurance hors de la banque et cette proportion pourrait doubler dans un contexte d’ouverture à la concurrence et de communication efficace des opérateurs alternatifs. Les questions posées ont trait à leur connaissance de l’assurance emprunteur, des garanties qu’ils ont souscrites, si le choix a été possible, les motivations de ce choix, leur vécu de la commercialisation de ce produit par les différents intervenants qu’ils ont rencontrés (banque, courtier, assureur). La qualité de l’information de l’emprunteur reste au cœur du sujet : l’information et le conseil donnés ne sont pas toujours perçus comme suffisants, et ce pour tous les types d’intervenants. Le tiers des jeunes emprunteurs a souscrit son assurance hors de la banque et cette proportion pourrait doubler dans un contexte d’ouverture à la concurrence et de communication efficace des opérateurs alternatifs. Les questions posées ont trait à leur connaissance de l’assurance emprunteur, des garanties qu’ils ont souscrites, si le choix a été possible, les motivations de ce choix, leur vécu de la commercialisation de ce produit par les différents intervenants qu’ils ont rencontrés (banque, courtier, assureur). La qualité de l’information de l’emprunteur reste au cœur du sujet : l’information et le conseil donnés ne sont pas toujours perçus comme suffisants, et ce pour tous les types d’intervenants. Le tiers des jeunes emprunteurs a souscrit son assurance hors de la banque et cette proportion pourrait doubler dans un contexte d’ouverture à la concurrence et de communication efficace des opérateurs alternatifs. Les questions posées ont trait à leur connaissance de l’assurance emprunteur, des garanties qu’ils ont souscrites, si le choix a été possible, les motivations de ce choix, leur vécu de la commercialisation de ce produit par les différents intervenants qu’ils ont rencontrés (banque, courtier, assureur). La qualité de l’information de l’emprunteur reste au cœur du sujet : l’information et le conseil donnés ne sont pas toujours perçus comme suffisants, et ce pour tous les types d’intervenants. Le tiers des jeunes emprunteurs a souscrit son assurance hors de la banque et cette proportion pourrait doubler dans un contexte d’ouverture à la concurrence et de communication efficace des opérateurs alternatifs. Les questions posées ont trait à leur connaissance de l’assurance emprunteur, des garanties qu’ils ont souscrites, si le choix a été possible, les motivations de ce choix, leur vécu de la commercialisation de ce produit par les différents intervenants qu’ils ont rencontrés (banque, courtier, assureur). La qualité de l’information de l’emprunteur reste au cœur du sujet : l’information et le conseil donnés ne sont pas toujours perçus comme suffisants, et ce pour tous les types d’intervenants. Le tiers des jeunes emprunteurs a souscrit son assurance hors de la banque et cette proportion pourrait doubler dans un contexte d’ouverture à la concurrence et de communication efficace des opérateurs alternatifs.

Les questions posées ont trait à leur connaissance de l’assurance emprunteur, des garanties qu’ils ont souscrites, si le choix a été possible, les motivations de ce choix, leur vécu de la commercialisation de ce produit par les différents intervenants qu’ils ont rencontrés (banque, courtier, assureur).
 
La qualité de l’information de l’emprunteur reste au cœur du sujet : l’information et le conseil donnés ne sont pas toujours perçus comme suffisants, et ce pour tous les types d’intervenants.
 
Le tiers des jeunes emprunteurs a souscrit son assurance hors de la banque et cette proportion pourrait doubler dans un contexte d’ouverture à la concurrence et de communication efficace des opérateurs alternatifs.